vendredi 19 décembre 2014

Retour à Serre Chevalier pour Yves Le Blevec




Décidément, Yves Le Blévec, skipper du trimaran de 50 pieds Actual (15m24 exactement) , favori de la prochaine Route du Rhum, s'attache de plus en plus à la vallée de la Guisane et au massif des Ecrins, puisqu'il est revenu cet automne s'entrainer quelques jours en montagne avec Eric Loizeau.

L'année précédente il était déjà venu soigner sa préparation en altitude en compagnie de son co- équipier pour la Transat en Double Jacques Vabre Kito de Pavant, et cela avait plutôt bien marché, puisqu'ils avaient pris la seconde place de la course.
Nous avons choisi cette fois ci un mode plutôt itinérant avec des marches soutenues en altitude et une nuit en refuge, sans oublier la traversée d'une inévitable via-ferrata, activité qui avait beaucoup plu précédemment.
Ainsi, Yves a parcouru chacun de ses 5 jours d'entrainement une quinzaine de kilomètres à pied et avalé en moyenne 1200 mètres de dénivelée quotidiens . Et cela dans des conditions météo typiquement automnales et parfois très humides. Pour favoriser la  polyglobulie l'ensemble du séjour s'est déroulé au dessus de 1500 mètres d'altitude avec une nuit passée à 2500 mètres au Refuge du Mont Thabor et l'ascension du sommet du même nom qui culmine à 3178mètres. Cette dernière s'est vraiment déroulée dans des conditions hivernales puisque 20 centimètres de neige fraiche était tombée pendant la nuit.
Moins de 15 jours après, nous avons retrouvé Yves en très grande forme à St Malo au départ de la Route du Rhum . Il le prouve par une course exceptionnelle de persévérance. En effet, après avoir mené brillamment le premier tiers de la course, il doit s'arrêter 24 heures à Lisbonne pour réparer ses pilotes automatiques défaillants. Reparti en queue de peloton, il traverse l'Atlantique à bloc et revient inexorablement sur la tête de course pour finir à Pointe à Pitre sur les talons des premiers.




lundi 17 novembre 2014

Eric, Président du 23ème festival du film de l'aventure à Dijon




La Guilde du Raid, organisateur avec la ville de Dijon de ce prestigieux festival, a convié Eric Loizeau à présider le jury du film d’aventure. L’occasion pour lui de visionner de nombreux films d’aventure et de voyage tournés aux quatre coins du monde et de rencontrer de nombreux amis. La dernière expérience de la sorte pour Eric remontait au festival de films d’Autrans en 2004 et selon lui le niveau des films s’est particulièrement amélioré depuis. En effet, les dix sept films pré sélectionnés et visionnés par le public avaient tous un réel intérêt.

Eric : « nous avions déterminé les critères suivants afin de départager les films : authenticité et qualité de l’histoire, partage avec les gens, qualité des images, originalité du sujet, protection de l’environnement. Mis à part le film vainqueur (Nomade des mers – Expédition gold of Bengal de Corentin de Chatelperron) qui satisfaisait à tous les critères et qui a fait l’unanimité, cela a été beaucoup plus difficile pour départager les autres. En effet, la sélection avait été faite avec beaucoup de soin et du coup nous nous trouvions à hésiter entre des films et des aventures de grande qualité. Heureusement je disposais d’une équipe performante, avisée  et très professionnelle, ce qui nous a permis d’avancer rapidement et dans la bonne humeur.»

Pour consulter le palmarès du Festival : www.aventure.la-guilde.org

mercredi 12 novembre 2014

Eric, Ambassadeur Land Rover aux Extrem Series de Nice



Le circuit des Extrem 40 a été mis en place par la société OC SPORT en 2012. Il s’agit d’organiser des régates de haut niveau international sur des bateaux impressionnants et rapides à proximité directe du public. Une sorte de courses « en stade » différentes des traversées océaniques où les bateaux ne sont visibles que pendant quelques courtes heures au moment du départ. Les régates se déroulent donc entre les quais des ports ou à quelques dizaines de mètres devant les plages . Il y a 8 étapes situées aux quatre coins du monde, Nice est l’étape française depuis 3 ans et LAND ROVER le sponsor titre de l’événement depuis 2013.

Les bateaux choisis sont des catamarans en fibre de carbone de 40 pieds (12mètres19), extrapolation de la célèbre série olympique « Tornado ». Ils sont menés par des équipages internationaux de cinq personnes, tous issus de la filière olympique ou de l’America Cup. On compte parmi eux ce qui se fait de mieux dans le monde de la régate entre 3 bouées, mais aussi des coureurs transocéaniques comme Franck Cammas. Les régates sont donc de très haut niveau et spectaculaires  compte tenu des caractéristiques volages des bateaux….avec collisions et chavirage à la clé!


Eric Loizeau : « Mon rôle pendant ces quatre jours de compétition est d’accueillir les clients et journalistes  invités par Land Rover, sponsor titre de l’épreuve, puis de les « coacher » toute la journée. Je leur explique d’abord la course et les bateaux et je les emmène naviguer le matin sur l’Extrême 40 Land Rover, avant de suivre les régates de l’après midi, soit du rivage, soit à partir de notre semi-rigide. »




Ainsi, pendant les quatre jours de l’événement, une centaine de clients Land Rover se sont succédés sur l’espace Land Rover et ont testé avec beaucoup de plaisir l’Extrem 40 en compagnie  d’Eric et de son équipe. Il leur a été possible aussi de s’immerger dans l’ambiance particulière de cette compétition, d’assister aux briefings des skippers et de rencontrer les plus prestigieux d’entre eux. 


Et, cerise sur le gâteau, ils ont été les premiers à contempler le tout nouveau Discovery Sport, véhicule idéal pour les aventuriers explorateurs, exposé en avant première devant le village de course.




vendredi 19 septembre 2014

Eric, conférencier pour BPI France


A l'occasion du séminaire de BPI France organisé dans la région du Mont Saint Michel par sa société Elovoyagers les 17 et 18 septembre 2014, Eric Loizeau est intervenu avec succès en racontant l'expérience de son ascension réussie de l'Everest.
Les 130 personnes de l'auditoire ont été captivées par les images extraordinaires de cette aventure et le récit d'Eric enrichi par ses expériences de navigateur tour du mondiste, dans lequel il était facile de trouver de fortes analogies avec les exigences de l'entreprise. Le succès de cette banque d'investissement étant bâti en effet sur la confiance et l'innovation.
Le lendemain, par un temps idéal, soleil et vent léger, Eric a accompagné le groupe pour les 7 kilomètres de traversée de la magnifique Baie du Mont St Michel en compagnie de guides de la Baie toujours aussi performants qu'intéressants dans leurs commentaires sur l'histoire et l'écologie de l'endroit.
Cette marche tranquille, bien plus facile que la longue traversée de la Combe Ouest de l'Everest (!), lui a permis de continuer à communiquer sa passion aux nombreux participants curieux de ses aventures extraordinaires en mer et en montagne.

lundi 2 juin 2014

Tests Quechua Phone 5 au Toubkal

Le lac d'Ifni, le but de notre traversée de l'Atlas.
"Ca commence a être long...!!" soupire Simon en équilibrant son sac à dos d'un bref coup d'épaule avant de s'engager d'un pas vacillant dans la pente raide du sentier. C'est vrai qu'il est chargé le bougre, portant en plus de ses affaires personnelles un pied tripode encombrant qui lui permet de soutenir sa lourde caméra vidéo lors des prises de vue. En effet, nous sommes tous les deux en mission pour Quechua, l'objectif étant de montrer dans un court reportage les avantages de la nouvelle application Quechua Tracking disponible sur le tout nouveau Quechua Phone 5.

Nous sommes au dernier jour de notre expédition. Et nous commençons à être fatigués...!
Hier nous avons gravi le Mont Toubkal, point culminant de l'Atlas avec ses 4167 mètres. Auparavant, nous avions quitté Marrakech en voiture pour rejoindre les contreforts de la montagne et le début du chemin de randonnée au lieu dit Arumd, petit village berbère blotti dans un col montagneux au bord d'un oued tumultueux.

Le refuge des Mouflons qui se confond dans les rochers.
Ensuite, accompagné d'une mule et d'Ahmed son jeune muletier,  nous avions marché quatre bonnes heures pour atteindre le Refuge des Mouflons, plus connu sous le nom de Refuge Netzer, car rénové depuis quelques années, le camp de base idéal pour atteindre le sommet du Toubkal situé mille mètres plus haut. Ce fut une marche somme toute facile sur un sentier caillouteux sinuant à flanc de montagne au dessus de l'oued . Nous étions pourtant en milieu de journée mais le soleil voilé ne dispensait pas une chaleur trop forte. Heureusement ! Et puis le chemin est jalonné de quelques arrêts sympathiques et réconfortants, le village de Sidi Chamarouch qui compte une mosquée mais aussi quelques bars, et plus loin deux échoppes berbères qui délivrent à profusion Coca et Fanta rafraichis directement par l'eau glacée d'une source.

Le superbe massif du Toubkal à plus de 4000 m.


La vague de chaleur qui a sévi sur l'Atlas marocain ce mois dernier a fait fondre toute la neige mis à part quelques rares névés étalés sur les faces nord. Notre ascension sera donc très sèche et rocailleuse. Il ne fait pas froid, le beau temps doit durer toute la journée, nous décidons de partir vers 7h00 bien après le lever du jour. Comme cela, nous allons pouvoir tourner quelque images du démarrage de notre appareil et de son application de navigation. Cette dernière est très simple et permet de suivre presque pas à pas l'itinéraire de sa randonnée, en affichant les différents paramètres en temps réel : altitude, vitesse instantanée de montée ou de descente, distance parcourue, vitesse moyenne, temps de montée et de descente. Après avoir enregistré à l'échelle voulue la carte par Wifi, on peut la consulter à tout moment sans avoir besoin d'être connecté à un réseau quel qu'il soit. Guidée par le GPS intégré, la trace s'imprime en rouge sur l'écran et permet de savoir à tout moment où on en est....Il est possible aussi de marquer autant de points d'intérêt que l'on veut, de les photographier et de les commenter, donc d'écrire en direct une sorte de journal de bord du voyage (le hikebook) qu'il est possible ensuite de restituer et de partager avec qui on veut....
Le tripode du sommet et ses tags malencontreux
Ainsi, à notre retour au refuge nous pourrons décortiquer notre itinéraire et en particulier celui de la descente que nous avons effectuée par un sentier improbable non marqué sur la carte. Nous constaterons que nous avons effectué l'ensemble du parcours de 8,07 kilomètres en 3 heures 13 minutes de marche pour 1187 mètres de dénivelé positif et 1258 mètres de dénivelé négatif et un temps total de 3 heures 49 minutes , compte tenu de nos arrêts.... à une vitesse moyenne de 2,14 km/h...

Arrivée sur le lac d'Ifni.

Un programme simple et pratique qui devrait satisfaire tous les amateurs de randonnée mais aussi les professionnels, accompagnateurs en moyenne montagne et guides, toujours intéressés par répertorier leurs courses et itinéraires. Pour ma part, je sais que je vais l'utiliser dans toutes mes reconnaissances de voyages et en particulier pour la préparation du prochain Trophée Mer Montagne. En effet, le Quechua Phone, en plus d'être antichoc est étanche, ce qui permet de l'utiliser sous la pluie ou la neige ....!!!!

Petit déjeuner réparateur au retour à Marrakech






lundi 21 avril 2014

Voyage d'exception entre Drakensberg et Lesotho

Bienvenue au Drakensberg en direction de Champagne Castle.
A la fin de notre voyage, contemplant le spectacle grandiose des vastes étendues désertes défilant à travers la fenêtre de notre véhicule nous ramenant à Johannesburg, je me disais que décidément j'adorais l'Afrique. Je ne me lasse pas en effet de ces paysages sublimes qu'il nous est donné de contempler indéfiniment, de ses peuples authentiques, que ce soit au coeur du Magreb, en Afrique Centrale du Sénégal au Kilimandjaro, ou dans sa partie australe entre Namibie et Afrique du Sud.
Cette fois ci, notre objectif était de parcourir plusieurs jours durant, en autonomie presque complète, les arêtes abruptes qui couronnent l'extraordinaire rempart naturel du Drakensberg et séparent le Lesotho, minuscule état indépendant, de l'immense Afrique du Sud.

Pour Franck Adisson et moi-même, c'était une sorte de retour aux sources vers nos années de raiders, puisque nous avions participé tous les deux, dans deux équipes différentes, au Raid Gauloises organisé ici en 1998. C'est d'ailleurs cette envie de revoir paisiblement ce sublime pays  simplement entrevu " la tête dans le guidon" pendant les 10 ou 11 jours de course qui nous avait décidé à convaincre nos camarades de voyage à nous accompagner.

Notre équipe réunie sur le point culminant à 3 482m.
Notre équipe, 4 filles et 4 garçons, solides marcheurs, accompagnés de 2 guides purs sud africains et de 4 porteurs noirs. Notre voyage est divisé en deux sections de 4 jours nous permettant d'avoir un aperçu le plus complet des paysages et d'atteindre le point culminant du Drakensberg, vaste sommet plat situé à la frontière avec le Lesotho.                                                                                                    


















Partir explorer le Drakensberg en avril est probablement le meilleure période pour le faire. C'est l'automne austral, beaucoup plus sec que l'été, et il est vrai que nous avons bénéficié pendant ces dix jours d'une météo extraordinaire, bien plus clémente que ce que j'avais prévu. Et c'est tant mieux. Même si les nuits en altitude - nous avons dormi deux fois au dessus de 3000 mètres - ont été froides, dès que le soleil s'élevait le matin au dessus de l'horizon, le mercure reprenait des hauteurs convenables. Ainsi, nous avons gardé nos tenues de pluie au fond de nos sacs.


Nous marchions environ une quinzaine de kilomètres par jour en avalant entre 800 et 1200 mètres de dénivellée dans les deux sens sur des chemins quelquefois à peine tracés. Départ régulier à 8h30 le matin après un breakfast costaud, un arrêt pique nique aux alentours de midi, à chaque fois dans des endroits de rêve, pour arriver en fin de journée sur le site de bivouac où nous installions nos tentes pour le traditionnel apéro, suivi du diner "pâtes au thon" servi dans notre plus grande tente, baptisée pour l'occasion "tente 
mess".
Autre caractère exceptionnel, contrairement aux treks au Népal ou dans de nombreux pays éminemment touristiques, nous n'avons rencontré aucun autres marcheurs, ni autochtones, mis à part quelques bergers sur les hauts plateaux du Lesotho, accompagnés de leurs chiens efflanqués. Tout dépend évidemment de ce que l'on recherche !


lundi 31 mars 2014

Nuit des Etoiles sous l'Etendard



L’idée est venue des Offices du Tourisme du Corbier et de Saint Sorlin d’Arves, à la suite de la première édition du Trophée Mer Montagne du mois de janvier 2014. Pourquoi ne pas profiter du superbe Refuge de l’Etendard situé à 2430m d’altitude sous le pic du même nom pour organiser une sorte de rencontre au sommet entre des décideurs d’entreprise et des sportifs de renom attachés aux stations du domaine et au Trophée ?

L’objectif étant d’abord de faire découvrir le domaine skiable des Sybelles et d’inciter les chefs d’entreprise à organiser des «incentive corporate» à cet endroit ou plus simplement de venir passer des vacances sportives en famille ou entre amis.

Eric Loizeau et son agence événementielle Elovoyagers, créateur et organisateur du Trophée Mer Montagne, se sont chargés des invitations et de la mise en place du week end, d’abord prévu à la fin du mois de janvier puis repoussé la dernière semaine de mars afin de bénéficier de conditions météorologiques plus favorables.

Et ce fut le cas, avec un soleil toujours présent et une neige excellente pour cette fin de saison. En plus de Damien Spagnolo et Jean Noël Augert, vedettes incontournables de l’endroit, s’étaient joints côté sportif, Clémentine Lucine, triple championne du monde de ski nautique et Nicolas Mugnier , «Summiter» de l’Everest en même temps qu’Eric Loizeau.

De l’avis de tous les participants, ce fut un beau week end, avec une nuit en refuge confortable, malgré quelques ronfleurs aux dires de certaines. Le niveau des skieurs étant homogène et plutôt élevé, il fut possible de parcourir la presque totalité de cet immense domaine, de La Toussuire à Saint Sorlin d’Arves, en passant par Saint Colomban et Le Corbier, tout en profitant des restaurants d’altitude pour déguster les spécialités locales et discuter autour d’un verre.


Une expérience constructive et positive où chacun a eu le loisir de s’exprimer sur son environnement de travail et ses objectifs qui sera forcément à renouveler en 2015.

mardi 25 mars 2014

Des Marins à La Grave



Le village de La Grave est célèbre par la Meije, ce majestueux sommet de plus de 4000 mètres qui le domine et aussi par son domaine de ski hors piste unique au monde. Depuis le début du siècle dernier et l’intérêt des touristes pour l’alpinisme, c’est un repaire sauvage de grimpeurs et de skieurs. 

«Un lieu terriblement authentique qui plairait sûrement aux marins du grand large!!!»

C’est ce que pensait Jean Pierre Sevrez le Maire de la commune, guide de montagne lui-même, d’où sa requête auprès d’Eric pour qu’il invite ses compagnons coureurs d’océans à 3 jours de découverte et de rencontres.

Ainsi est née la première édition des "Marins à La Grave"ce mois de mars 2014 sous la forme d’une rencontre conviviale des marins venus de Bretagne et Méditerranée avec les habitants et les enfants du pays. Une rencontre concentrée autour de l’eau et de son cycle parfaitement illustré par la présence des glaciers qui alimentent les fleuves jusqu’aux océans, de la montagne à la mer.
Dans ce contexte fort, Eric Loizeau et Anne Cécile Turner, représentant tous les deux la fondation «Race for Water», accompagnés du glaciologue de renom Louis Reynaud, ont animé une première soirée publique autour de thème de la préservation de l’environnement marin et montagnard, ponctuée par le témoignage des marins présents.
La seconde étant plus tournée vers la relation de grandes aventures maritimes avec les images commentées du Vendée Globe par Bernard Stamm et Tanguy de Lamotte, celles de la mini transat de Nicolas Boidevezi, et pour finir le récit par le héros local Mayeul Riffet de son extraordinaire traversée du continent vers la Corse en Kite Surf....


Le tout orchestré par les habitants du pays qui ont hébergé les invités chez eux et par les guides locaux qui ont emmené la troupe «rider» trois jours formidables au coeur des célèbres Vallons merveilleusement enneigés par un coup de baguette magique improbable de la météo.....


dimanche 16 mars 2014

Conférence pour HEC Executive Education


L'agence Elovoyagers Vatea a été choisie pour organiser le séminaire annuel d'HEC Executive Education à St Malo et la baie du Mont St Michel. Cet incentive de trois jours destiné aux 120 collaborateurs français et étrangers avait pour objectif de fédérer les équipes et leur insuffler une véritable motivation afin de conserver leur leadership devant les autres grandes écoles internationales.

Le «claim» du séminaire étant «apprendre à oser», il était presque logique de faire appel à Eric pour qu’il donne ses «clés de la performance» à travers ses expériences fortes de marin et d’alpiniste et plus particulièrement en racontant son expédition victorieuse au sommet de l’Everest.

Ainsi, pendant près de deux heures, en utilisant des mots simples et la magie des images ramenées de là-haut, Eric a captivé une fois de plus son auditoire, en  montrant les similitudes entre la réussite d’un exploit sportif et les performances d’une entreprise. 
Ces éléments clés de la réussite étant d'ailleurs bien résumés et mis en avant dans la dernière diapositive de sa présentation.



dimanche 9 mars 2014

Eric Loizeau remporte le Land Rover Discovery Challenge

Tim Davies et Eric Loizeau, vainqueurs de la première Spéciale Slalom du Discovery Challenge.


Pour célébrer le 25 ème anniversaire du Discovery, le véhicule d’exploration par excellence de la marque, Land Rover avait décidé d’inviter leur quatre ambassadeurs des sports d’aventure à deux jours de compétition «outdoor» : les Land Rover Discovery Challenge. L’objectif étant, en plus de produire de belles images pour la marque, de décerner une bourse d’aventure à un jeune explorateur en devenir.

Les épreuves se déroulaient en majorité dans le secteur de l’Altiport de Megève avant de rejoindre Genève où débutait le Salon International de l’Automobile. Dirigées par l’explorateur polaire Ben Saunders, les spéciales sportives mettaient en avant les qualités  tout terrain du Discovery, grâce à des slaloms sur la neige, des épreuves de franchissement, et celles des concurrents en terme de conduite, d’ingéniosité , de condition physique et bien sûr de «fighting spirit»....

Les  ambassadeurs,  trois britanniques , la navigatrice Hannah White, l’explorateur Ranulph Fiennes, l’alpiniste Kenton Cool et le «frenchy» Eric Loizeau étaient donc associés dans chaque épreuve à tour de rôle à un jeune aventurier et pour finir c’est Eric qui s’imposait en remportant la dernière spéciale sur le lac Léman grâce à son expérience affirmée de kayakiste....

Après un débat serré, les ambassadeurs décernaient enfin le prix du jeune aventurier Land Rover à Hannah Wright, 21 ans, membre de la British Exploring Society et ayant déjà à son actif plusieurs escalades de parois dans les Dolomites et les Montagnes Rocheuses et de longs raids hivernaux en Norvège.

Espérons que ce bienvenu coup de pouce financier lui permettra de réaliser une partie de ses rêves et d’avancer dans sa quête de voyages et d’aventures.

Hannah Wright lauréate du Discovery Youth Challenge 2014





samedi 8 mars 2014

Eric Loizeau, nouveau "Water Guardian".....


Avec sa vie d’aventurier passée entre mer et montagne, entre eau de mer et eau douce, Eric se devait d’adhérer un jour ou l’autre à la fondation Race For Water, aux côtés de ses amis navigateurs et alpinistes Steve Ravussin et Aurélien Ducroz.
En effet, la fondation Race For Water est une organisation dédiée à la préservation de l’eau qui vise à comprendre, sensibiliser, éduquer et agir sur les problèmes majeurs liés à l’eau et à y apporter des solutions. Sachant que la probable pénurie de l’eau à l’échelle mondiale sera un problème plus grave pour les générations à venir que le manque de pétrole....
Ainsi, marins et alpinistes se doivent de défendre leur environnement et se comporter en exemples auprès de tous, enfants et adultes en s’engageant à respecter la charte des Water Gardians et la partageant autour d’eux.
Comprendre et réduire la consommation et les pollutions de l’eau, lutter contre la prolifération des matériaux plastiques non recyclables et véritable fléau de notre civilisation moderne, seront les axes défendus par Eric et ses camarades dans toutes leurs organisations d’événements corporate et tous leurs voyages aux quatre coins du monde.



dimanche 16 février 2014

Du Cap Horn à l'Everest traduit en italien....


Après un succès incontestable en France grâce aux Editions Glénat, le livre "Du Cap Horn à l'Everest" où Eric raconte sa vie d'aventurier entre mer et montagne retrouve une nouvelle vie en Italie avec les éditions Mare Verticale.

A cette occasion, Eric se rappelle que du sang italien coule dans ses veines grâce à son grand père natif des Abruzzes émigré en France pour échapper au régime fasciste de Mussolini : 

"Je suis ravi de cette ré édition transalpine car j'ai toujours été proche des marins et alpinistes de cette nation parmi lesquels je compte beaucoup d'amis très chers. Sans oublier mon grand père qui m'a donné le goût de la nature et probablement de la montagne où il avait passé sa jeunesse."

Ainsi, "Da Capo Horn all'Everest" devrait plaire de l'autre côté des Alpes car très nombreux sont les Italiens proches des deux milieux de prédilection d'Eric et comme lui, à la fois marins et alpinistes.


Intervention réussie d'Eric pour OETKER Group au Bristol



Les patrons du groupe OETKER, propriétaire des plus merveilleux palaces dans le monde (l'Apogée à Courchevel, le Frégate Island aux Seychelles, le Namaska à Marrakech ou l'Eden Roc au Cap d'Antibes), ont demandé à Eric Loizeau de venir motiver leurs équipes internationales de vente pendant leur séminaire au Bristol à Paris.

Pendant son intervention d'une heure trente, illustrée d'images de son expédition victorieuse à l'Everest, Eric a montré que la confiance en soi, dans l'équipe et dans les expertises extérieures pouvait permettre de vaincre malgré des conditions radicalement défavorables.

Dans un contexte économique difficile, une telle expérience positive est toujours la bienvenue, ne serait ce que par le décalage qu'elle apporte.

A la fin de son intervention les 30 participants ont longuement applaudi Eric qui a su leur donner confiance en mettant en avant les similitudes entre son aventure extrême et les réalités de leur business.

21ème Trophée Mer Montagne au Corbier



Créé en 1994 par Eric pour garder le contact avec son milieu de prédilection, suite à son installation dans les Hautes Alpes,  le Trophée Mer Montagne en est donc à sa vingt et unième édition dans les montagnes et pour la première fois au Corbier sur le vaste domaine des Sybelles.

Une nouvelle station, un nouveau domaine skiable, c'est à chaque fois une découverte excitante et une vraie remise en question pour les organisateurs. La bonne entente avec l'équipe de l'Office du Tourisme, les responsables des remontées mécaniques, les ESF et les Skis Clubs est primordiale et gage de la réussite. Cela a été le cas au Corbier où nous avons réalisé peut-être une de nos éditions les plus abouties.

Une fois encore de grands champions étaient au rendez vous pour les quatre jours de compétition et de rencontres, et ce sont eux qui ont permis à l'agence Links de donner cette année une dimension médiatique méritée à l'événement.

De nouveaux partenaires également qui ont permis de nouvelles épreuves spectaculaires ou inédites, comme la Spéciale d'Optimist sur neige Auspibor ou le Prologue des boules Obut.

Une équipe vainqueur très soudée (Aurélien Ducroz, Eric Peron, Martin Deleglise) et le mot de la fin pour le marin skieur Luc Alphand : "Le Trophée Mer Montagne, c'est avant tout le trophée de l'amitié...."

Prochain rendez vous au Corbier fin janvier 2015....!

www.trophee-mer-montagne.com